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Gertrude Stein, Picasso, Braque, les débuts du cubisme.

Nous sommes au tout début du XXème siècle, juste avant la Grande guerre qui bientôt bouleversera tout. Une période d’une vitalité et d’une créativité qui aujourd’hui encore nous font pâlir d’envie. « Paris, alors, vous donnait des ailes » écrira Stefan Zweig. « Durant ces années qui vont de 1907 à 1914, écrira Blaise Cendrars, jamais ne flamba un tel brasier d’intelligence ! ».

L’époque où l’Américaine Gertrude Stein, poétesse et riche collectionneuse, s’installe à Paris et se lie d’amitié avec les artistes. Celle où Picasso, dans son atelier vétuste du Bateau-Lavoir à Montmartre, peint Les Demoiselles d’Avignon, une oeuvre au parfum de soufre, qui donne envie de cracher le feu, dira Braque ! Georges Braque, le génial mais timide, qui sera longtemps éclipsé par le solaire Pablo. Mais pour l’heure, les deux peintres cubistes sont liés par une amitié qui semble à la vie, à la mort.

« Stein, Picasso, Braque et l’invention du cubisme » de Jean-Benoît Patricot

Avec :

Gertrude Stein : Elsa Parent-Koenig

Pablo Picasso : Denzel Calle Gonzalez

Georges Braque : Léo Grange

Guillaume Apollinaire : Julien Campani

Bruitages : Bertrand Amiel

Prise de son, montage, mixage : Etienne Colin, Bernard Lagnel

Assistante à la réalisation : Laure Chastant

Réalisation : Baptiste Guiton

 

 

 

L’AQUOIBONISTE création Avignon 202ø1

Il fait le pire cauchemar : être enterré vivant.

Il voudrait se réveiller, serrer dans ses bras la femme aimée mais elle hurle qu’il est mort, un médecin pressé confirme.

Il se retrouve sur la table d’autopsie…

Quand il revient à la vie, le monde autour de lui a changé. On l’ignore. Il ne ressent plus rien. Pour revivre vraiment il faut qu’il retrouve sa femme, qu’ils puissent rire ensemble de cette mauvaise blague. Elle est retournée dans la ville où est né leur passion.

Là-bas, il va découvrir l’incroyable vérité.

Tout ceci n’était pas un cauchemar, c’était la plus belle preuve d’amour…